2011/2012 – Anatomie d’un déplacement IV / Intuitions Citadines

Phase IV de l’anatomie d’un déplacement

A l’occasion de la fin de l’année scolaire, les élèves de l’école d’arts plastiques montrent leurs réflexions autour du thème :
Intuitions citadines.

 

Expo 2012 école d'art du GrandAngoulême

Expo de fin d'année

Dans la continuité de l’anatomie d’un déplacement, les travaux s’inspirent des propositions issues du mythe de la ville.
Sa densité, ses enchevêtrements de formes, ses chantiers, ou ses itinéraires se confrontent à la question de l’expression plastiques.
Autour des accroissements s’organisent les vides, qui sont comme les parcs ou le visiteur chercherait l’inspiration.
Des lignes de ciel, des arcades, des colonnes, des souterrains, ou encore des axes routiers qui sont source de recherches et questionnements …

Cette exposition est montée comme une ville, des dessins montent au plafond comme les immeubles au ciel, le son des différentes installations se confond avec les murmures de voix ou de chants.
La ville est un terrain forgé d’accumulations de couches, un champ
de bataille pour que l’art puisse devenir un véritable acte social :
33 ateliers et autant de travaux doivent vibrer ensemble au rythme de l’intuition citadine, un atelier de modèle vivant ou un atelier de cinéma d’animation superposent leurs résultats pour donner à voir une foule que vous pouvez rejoindre que dans le songe.
Une palissade de chantier devient volume pour présenter des gravures et de montages de photographies.
Le public du ciné-concert sur l’écran de la télévision est en
terre cuite …
Sortir de l’atelier, aller à la ville, c’est aussi repenser la couleur , la forme et la lumière pour inventer des liens entre arts plastiques, architecture, musique, cinéma et théâtre.

Dans cette ville imaginaire, vous pourriez savourer les points de vue en vagabondant à travers les quartiers et leurs laboratoires