L’équipe de la scène nationale accueille chaleureusement chaque année dans le cadre de son festival « La tête dans les nuages », les élèves de la classe prépa, et nous les en remercions sincèrement.

17 étudiants ont pensé leur « nuage », tout en travaillant la notion de mou d’une forme. Ils ont pris en considération le fait aléatoire de la contrainte des matériaux pour s’offrir, ainsi qu’aux spectateurs, d’une certaine façon un voyage dans une installation peu éclairée – elle se veut énigmatique tel le ciel chargé des nuages où nous pouvons explorer l’extérieur et l’intérieur de 17 petits mondes ou de petites planètes qui dialoguent entre les matières, la lumière, les couleurs, les formes et répondent aux sons imaginaires dans un monde que nous pouvons que rêver.

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L’expression, Avoir la tête dans les nuages renvoie à l’image d’un être rêveur.

Imaginons à présent cette expression prise au sens littéral, c’est-à-dire avoir concrètement la tête dans un nuage, pouvoir y placer son visage, ses épaules, son buste afin de pénétrer à l’intérieur même de cette forme évanescente et y découvrir son espace et écouter pour entendre.

C’est à partir de cette proposition que les étudiants de la classe prépa de l’école d’art de GrandAngoulême ont conçu une installation interactive qui permettra aux visiteurs de pouvoir explorer chaque nuage comme un univers à part entière. L’exposition sera visible jusqu’au 17 mars.

13 mars à l’espace Franquin, à partir de 18h 

Vernissage suivi d’une pièce de théâtre et d’une rencontre avec l’auteure

18h : vernissage en présence des étudiants de la classe prépa

19h : représentation de la pièce de théâtre « Trois petites sœurs »

20h  : rencontre dans le cadre des parcours d’éducation culturelle et artistique avec Suzanne  Lebeau , auteure de la pièce de théâtre sur le thème: Quelle est la double autorité de l’auteur qui s’adresse au jeune public — entrée libre

Avoir la tête dans les nuages ….
L’atelier design objet de l’école d’art met son premier nuage en place dans le hall du théâtre.
Dessiner, composer avec des pneus l’objet nuage, comme si on dessinait un gribouillage.
La suite du montage de l’exposition, à l’occasion de ce beau festival « Tête dans les nuages » en partenariat avec la scène nationale, se passera samedi à l’espace Franquin, le vernissage aura lieu lundi 13 mars à 18h.

Au croisement de la musique et des arts plastiques

Les élèves plasticiens expérimentent les matériaux, les formats, les modalités de mise en scène de la production d’images, sur scène, en direct, en dialogue avec les musiciens. Une improvisation entre étudiants de la classe prépa de l’école d’art de GrandAngoulême et les étudiants du cursus d’électro-acoustique du conservatoire Gabriel Fauré dans l’auditorium du conservatoire. Les  étudiants des deux structures explorent ensemble les relations entre l’image et le son.

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Les classes peuvent choisir entre les thèmes comme

« Autour du Théâtre d’ombre filmé», Création d’un petit théâtre d’ombre filmé. Par petits groupes, il s’agit d’illustrer une phrase au choix à partir de modèles d’insectes proposés à reproduire et découper pour composer une petite animation.

« Autour du Bestiaire imaginaire à partir d’insectes », Dessiner à partir de modèles d’insectes dans une structure combinatoire un petit livre imagier en trois parties : tête, thorax, abdomen.

L’atelier « Premiers Pas » permet au jeune public, une approche d’un éveil aux arts.

Aujourd’hui, l’atelier a permis aux enfants de découvrir « comment faire du marron » ?

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