« Aujourd’hui, la France est endeuillée, la démocratie défiée. Le GrandAngoulême, territoire des dessinateurs, est meurtri parl’assassinat et l’exécution lâches de dessinateurs, de journalistes et de policiers.
S’il en était besoin, la barbarie est désormais indéniable, elle qui tue de sang froid des innocents désarmés avec des armes de guerre. Aujourd’hui, nous sommes tous des dessinateurs ; aujourd’hui nous sommes tous des journalistes ; aujourd’hui nous sommes tous des policiers ; aujourd’hui nous sommes tous Charlie.