Ateliers d’ados, pratiques amateurs ou étudiants de la classe prépa, tous ont pensé cet espace vaste de l’arrière scène du parc d’exposition Carat pour créer dans l’esprit d’un « wall drawing » une ambiance dans les couloirs techniques. La peinture est considérée comme un élément de composition qui va reformuler l’espace en formes simples, sous forme d’aplat de couleurs, mélangeant ombres et formes graphiques pour évoquer la sculpture, le logo ou tout simplement la matière. Cet espace de circulation deviendra un dialogue entre aplats colorés et espace, tel une vision graphique dans laquelle les formes flottent, roulent et coulent afin de jouer entre plein et vide, entre équilibre et transparence. Le travail réalisé par les usagers de l’école d’art se situe dans le sillage de support-surface et des peintres contemporains comme Heidi Wood, Michel Duport, David Tremlett, Pierre Mabille, Olivier Nottellet, Sam3 ou encore le street-art.
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Le concert animé en photos
Montage de l’exposition « TRANSPARENCES » par les élèves de la classe prépa dans le cadre du festival La Tête dans les Nuages au Théâtre.
Transparences
12 mars à 15h30 au théâtre d’Angoulême exposition de travaux d’élèves de la classe préparatoire
Inaugurer la transparence, c’est traverser de part en part l’illusion tenace d’être quelque chose … c’est abolir un côté de l’autre et trouver enfin le centre…. (Roberto Juarroz)
A partir de ce thème, les étudiants de la classe prépa sont invités à réfléchir autour de la notion d’espace, car l’exercice de voir ou le « deviner voir » est une notion essentielle pour le plasticien parce que voir, apercevoir et décrypter les sens sous-jacents, ou voir au deuxième degré pourrait trouver forme dans l’effort de capturer l’idée d’une nouvelle forme et dans la tentative d’en saisir son mystère.
A l’aide de bonbons Dragibus et de brochettes de bois, les étudiants tentent, par l’utilisation de systèmes combinatoires, de construire de façon aléatoire une architecture légère et transparente à l’intérieur des caves du théâtre. Tout comme les frères Chapuisat, ils développeront en partie, leur architecture directement in-situ.
Un autre travail sera porté, une sorte d’habitat fera l’objet d’un jeu de mise en espace et questionnera l’habit qui transforme le corps. Carapace, protection, ou structure portée comme une prothèse inventent de nouvelles formes de mobilité.
Ciné concert au conservatoire
L’école d’art au Théâtre d’Angoulême
L’école d’art et le FIBD: 2ème temps fort – Exposition des travaux de la classe prépa
Classe prépa : Dossier d’inscription
L’école d’art à l’heure du festival de la BD, 28, 29 et 30 janvier 2016
Projet Elastiques – Atelier Matériaux de la Classe Prépa –
En résonnance avec le cours théorique questionnant le corps dans l’art contemporain, les étudiants de la classe prépa tenteront d’élaborer un accessoire ou un costume contraignant leur propre corps à l’aide de gros élastiques reliés les uns aux autres par des attaches parisiennes, en prenant pour référence le travail très sculptural de Tracy Fatherstone ainsi que sur le travail du Una Burke.